Le nouveau sujet qui attire toutes les conversations depuis quelques mois maintenant, que l’on aime ou qu’on déteste, impossible de passer à coté, encore plus depuis le rebranding de Facebook en Méta, c’est le Metaverse.
Vue Third Room
Le metaverse désigne une expérience dans un environnement virtuel en trois dimensions, où il est possible d’évoluer à travers un avatar ou un hologramme. Cette réalité alternative permet de discuter avec d’autres personnes mais également d’apprendre, de travailler ou encore de jouer.
#Metaverse et #OpenSource ensemble c’est possible ?
Matrix.org, protocole de communication qui permet des communications en temps réel sur le web, a lancé le mois dernier THIRD ROOM.
Logo Third Room
Third Room une vision ouverte, standardisée et décentralisée du metaverse pour le web entièrement construite sur Matrix. Les prémices du projet sont déposés en octobre 2017. C’est en mars 2022 que le projet se commence à se développer d’avantage, avec une augmentation des « commits » sur GitHub et il est lancé officiellement en septembre 2022. Il est possible depuis de rejoindre la version ouverte sur thirdroom.io.
Pour Matrix, Third room c’est simplifier l’utilisation des mondes virtuels qui est souvent réservée aux utilisateurs de casque VR. La webapp permet à chacun de développer des mondes et avatars en 3D… À l’avenir sera accessible aussi, une plateforme sur laquelle les designers 3D pourront monétiser leurs créations. Pour ouvrir un nouveau monde, il suffit de créer une nouvelle conversation sur Matrix.
Même si ce projet reste pour l’instant dans un but ludique, une utilisation plus professionnelle pourrait se dessiner d’ici quelques mois. Avec l’annonce du partenariat entre Teams de Microsoft et Méta, le metaverse commence à intégrer le monde de travail.
D’après les équipes de Microsoft « 50 % de la génération Z et de la génération Y envisagent de faire une partie de leur travail dans le metaverse au cours des deux prochaines années ».
Et vous ? Vous vous voyez faire vos prochaines réunions avec un casque VR ?
Le choix de vos outils de télétravail est important, c’est la sécurité de vos données qui est en jeu. Aujourd’hui, beaucoup d’entreprises optent encore par réflexe pour des solutions américaines, cette pratique ne fait que renforcer la dépendance aux GAFAM alors qu’il existe des alternatives françaises qui sont aussi efficaces, avec un enjeu majeur de souveraineté numérique.
Cinquième pays éditeur de logiciels, la France est un vivier unique de talents et de savoir-faire, de plus en plus d’entreprises nationales exportent une “ Frenchtouch ” reconnue partout dans le monde. Les éditeurs de logiciels français avaient déjà fait bondir leur chiffre d’affaires de 12 % en moyenne selon Syntec Numérique
Connaissez-vous ces logiciels ? Voici une liste des solutions digitalworkplaces madeinfrance alternatives gratuites ou payantes, propriétaires ou libres 👇
En Mai 2021, Speak & Act a publié son classement Best Candidate Experience – Happiness Barometer 2021 des entreprises offrant la meilleure expérience candidat suite aux nombreux avis des candidats. Un vote a été réalisé, sur plus de 500 entreprises, tous secteurs confondus.
Nous sommes ravies de vous annoncer que Watcha fait partie des Top 20 de ce classement et plus précisément le TOP 10 🏆
La cybersécurité est devenue un enjeu primordial depuis plusieurs mois maintenant. Les cyberattaques se sont multipliées avec 255% d’attaques par ransomware en plus durant l’année 2020, d’autant qu’avec le développement du télétravail, les risques se sont accrus. Il faut donc être de plus en plus prudent quant aux usages des outils numériques. Le gouvernement tente d’agir, avec l’annonce du plan sur la cybersécurité financé conjointement par France Relance et le Programme d’Investissement d’avenir.
Enjeux de cybersécurité
On l’a vu ces derniers mois, tout le monde peut être victime d’une cyberattaque. Les pirates s’en prennent même aux hôpitaux ou à nos administrations et nos collectivités. La cybersécurité est un enjeu global qui doit être pris très au sérieux et à tous les niveaux. En effet, l’ensemble des données d’une entreprise peuvent être perdues en cas de ransomware. Idem pour les données personnelles ou médicales lorsque c’est une collectivité ou un hôpital qui est touché. C’est pourquoi chacun doit être un acteur de la cybersécurité. Augmenter les moyens de formation dans ce domaine permettrait à chaque utilisateur d‘avoir les bases en matière de cybersécurité à savoir :
Faire les mises à jour du système et des logiciels (sur ordinateur et sur smartphone)
Utiliser un antivirus à jour
Utiliser un firewall
Sauvegarder les données régulièrement (système 3 – 2 – 1)
Utiliser des mots de passe uniques et forts
Utiliser un gestionnaire de mot de passe
Faire attention aux mails et aux phishing
Eviter le Wifi public pour une utilisation professionnelle
Actions en cours
Heureusement, la situation évolue et les mentalités changent. Le gouvernement a lancé un important plan pour aider à développer la filière de la cybersécurité, c’est un signal fort. Mais aussi le développement du campus cyber qui va permettre de mieux développer nos acteurs et créer une synergie importante entre eux. Tout cela devrait vraiment permettre une meilleure prise en compte de cet enjeu devenu vital et d’améliorer la coopération des acteurs, que ce soit dans le domaine de la formation (avec de nouvelles formations mises en place pour tenter de satisfaire la demande) qui va se développer comme au niveau des éditeurs de solution de protection (avec un travail de recherche et développement). Tout ce secteur va pouvoir mieux se structurer, se déployer et être plus à l’écoute des besoins afin d’agir en conséquence.
La cybersécurité doit forcément être prise en compte à tous les niveaux de l’organisation, depuis les dirigeants jusqu’aux exécutants. Chacun doit devenir un acteur de la cybersécurité, c’est le seul moyen d’être véritablement efficace. Et on voit bien que les divers projets menés actuellement tendent à améliorer cela et à mieux structurer cette filière et ses divers composantes, de la formation aux solutions de protection. L’État a aussi son rôle à jouer pour accompagner le développement de cette filière, dont il est aussi client, et c’est ce qu’il fait. Il va falloir attendre un peu afin de voir si toutes ces actions permettent, dans les faits, de vraiment faire évoluer les choses afin d’œuvrer pour une meilleure sécurité pour tous.
Le numérique est aujourd’hui présent partout dans nos vies, que cela soit au niveau personnel comme professionnel. Et cette tendance s’est vue amplifiée du fait de la crise. Nos petits commerces se sont mis au clic & collecte, les collèges, lycées et universités aux cours en télé-présentiel et le télétravail est désormais la norme dans les entreprises . Les collectivités territoriales n’y échappent pas, le gouvernement accélérant les dispositions en ce sens.
Les écoles ont dû, massivement, mettre en place des solutions pour assurer leurs cours en télé-présentiel.
Les entreprises se sont tournées vers le télétravail et ont donc mis en place les outils adéquates en se tournant notamment vers des outils de type CRM, de travail collaboratif ainsi que des plateformes de vente en ligne.
Bien évidemment, l’Etat et les collectivités territoriales, déjà engagées dans un processus de dématérialisation, ont continuées et accélérées dans ce sens. L’État avait déjà initié il y a quelques années un grand plan sur le numérique, toujours en cours, dont l’un des objectifs est d’obtenir 100 % des démarches administratives dématérialisées d’ici 2022. Les démarches s’amplifient et de nouvelles actions sont mises en place dans le cadre notamment du plan Action Publique 2022. Ce plan a 3 objectifs principaux : améliorer la qualité des services publics, plus d’ouverture et de transparence ainsi que plus de souveraineté et de sécurité. Il y a également le développement de la filière cybersécurité dans lequel l’état va investir 1 milliard d’euros.
Les collectivités et le numérique
Les institutions publiques doivent elles aussi suivre les avancées de notre société et donc passer au numérique et à la dématérialisation de leurs services et outils. Bien évidemment, nos gouvernants n’ont pas attendu la crise pour lancer ces projets. Le plan Action Publique 2022 a été initié en 2017. Il était déjà ambitieux, mais l’arrivée de la crise a obligé nos élus à accélérer et renforcer encore ses objectifs.
Hormis la dématérialisation totale des démarches administratives d’ici 2022, ce plan doit aussi améliorer et moderniser les services de l’État. Les collectivités doivent se numériser, moderniser leurs moyens d’actions, développer de nouveaux services comme France Connect notammentpour simplifier l’accès aux sites administratifs, Aidants Connect pour mieux accompagner les publics en difficulté. En internet, il y a la messagerie Tchap qui commence à être déployée.
Afin de rendre tout cela possible, il faut bien évidemment des moyens, financiers et matériels, mais aussi de la formation à ces nouveaux outils. Dans de petites communes, cela n’est pas toujours simple. Car il faut que ces acteurs, en contact direct avec le public, soient à même de les renseigner et les accompagner comme il faut. Le CNFPT notamment a développé son offre de formation dans ce sens.
Mais il y a aussi des effets pervers à cela, notamment vis-à-vis de l’illectronisme ou du manque de moyens pour certains foyers qui ne sont pas équipés d’un ordinateur.
Pour finir
La modernisation des services publics est en cours depuis plusieurs années maintenant. De grands projets ont été lancés, qu’il faut aujourd’hui accélérer du fait de la crise sanitaire. Ce sont de gros chantiers qu’il va falloir arriver à mener à terme, et qui induisent de grands changements et beaucoup de moyens.
Nos concitoyens aussi sont bien sûr impactés par cela, et eux aussi doivent s’adapter à ces transformations, ce qui n’est pas toujours simple et engendre certaines inégalités. Tout le monde est donc concerné par cette modernisation de nos collectivités et chacun doit agir, se transformer et s’adapter et surtout mettre en place les moyens pour accompagner le changement
Le nouveau sujet qui attire toutes les conversations depuis quelques mois maintenant, que l’on aime ou qu’on déteste, impossible de passer à coté, encore plus depuis le rebranding de Facebook en Méta, c’est le Metaverse.
Vue Third Room
Le metaverse désigne une expérience dans un environnement virtuel en trois dimensions, où il est possible d’évoluer à travers un avatar ou un hologramme. Cette réalité alternative permet de discuter avec d’autres personnes mais également d’apprendre, de travailler ou encore de jouer.
#Metaverse et #OpenSource ensemble c’est possible ?
Matrix.org, protocole de communication qui permet des communications en temps réel sur le web, a lancé le mois dernier THIRD ROOM.
Logo Third Room
Third Room une vision ouverte, standardisée et décentralisée du metaverse pour le web entièrement construite sur Matrix. Les prémices du projet sont déposés en octobre 2017. C’est en mars 2022 que le projet se commence à se développer d’avantage, avec une augmentation des « commits » sur GitHub et il est lancé officiellement en septembre 2022. Il est possible depuis de rejoindre la version ouverte sur thirdroom.io.
Pour Matrix, Third room c’est simplifier l’utilisation des mondes virtuels qui est souvent réservée aux utilisateurs de casque VR. La webapp permet à chacun de développer des mondes et avatars en 3D... À l’avenir sera accessible aussi, une plateforme sur laquelle les designers 3D pourront monétiser leurs créations. Pour ouvrir un nouveau monde, il suffit de créer une nouvelle conversation sur Matrix.
Même si ce projet reste pour l’instant dans un but ludique, une utilisation plus professionnelle pourrait se dessiner d’ici quelques mois. Avec l’annonce du partenariat entre Teams de Microsoft et Méta, le metaverse commence à intégrer le monde de travail.
D’après les équipes de Microsoft « 50 % de la génération Z et de la génération Y envisagent de faire une partie de leur travail dans le metaverse au cours des deux prochaines années ».
Et vous ? Vous vous voyez faire vos prochaines réunions avec un casque VR ?
Salon Third RoomSalon Third Room
European Champions Alliance cite Watcha dans son mapping consacré à la cybersécurité
Watcha cité parmi les acteurs contribuant à la souveraineté numérique en Europe par l’European Champions Alliance dans son premier mapping concernant la cybersécurité sur le continent.
Watcha est nommé au côté de nombreux acteurs importants au niveau européen et mondial, comme Ledger, Tanker et Oodrive. C’est avec une grande fierté que nous accueillons cette nomination qui nous conforte dans notre démarche visant à promouvoir la sécurité et la transparence des outils de collaborations professionnels.
Mis en place en mai 2021 par la direction interministérielle du numérique, au sein de l’État, le catalogue GouvTech recense plus 800 solutions de logiciels et services numériques qui peuvent être utiles aux services publics, proposés par des entreprises privées, des associations…
Notre solution WATCHA fait aujourd’hui son entrée dans ce catalogue. Les administrations pourront ainsi découvrir plus facilement notre outil, ses fonctionnalités et caractéristiques, et y faire appel, selon les modalités précisées sur notre page dédiée.
En se connectant à la plateforme réservée aux administrations, Mon.catalogue.numerique.gouv.fr, elles peuvent également découvrir quelles administrations y ont déjà eu recours, échanger avec elles et bénéficier de leur retour d’expérience.
WATCHA est un éditeur proposant une suite collaborative intuitive, opensource, souveraine et sécurisée. Elle repose sur des solutions open source de référence et s’articule autour de 4 fonctionnalités clés ; la Visioconférence avec Jitsi, la messagerie instantanée avec Element (Matrix), le stockage partagé avec Nextcloud et l'édition collaborative avec ONLYOFFICE
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