Les collectivités à l’ère du numérique

Les collectivités à l’ère du numérique

Introduction

Le numérique est aujourd’hui présent partout dans nos vies, que cela soit au niveau personnel comme professionnel. Et cette tendance s’est vue amplifiée du fait de la crise. Nos petits commerces se sont mis au clic & collecte, les collèges, lycées et universités aux cours en télé-présentiel et le télétravail est désormais la norme dans les entreprises . Les collectivités territoriales n’y échappent pas, le gouvernement accélérant les dispositions en ce sens.

État des lieux

Pas un secteur aujourd’hui ne peut se passer du numérique. Chacun s’y met, avec plus ou moins de bonne volonté, souvent même un peu contraint, mais il n’y a plus le choix. Les petits commerces n’ont pas eu d’autres solutions que de migrer vers des outils numériques afin de pouvoir continuer, un peu, leur activité.

Les écoles ont dû, massivement, mettre en place des solutions pour assurer leurs cours en télé-présentiel.

Les entreprises se sont tournées vers le télétravail et ont donc mis en place les outils adéquates en se tournant notamment vers des outils de type CRM, de travail collaboratif ainsi que des plateformes de vente en ligne.

Bien évidemment, l’Etat et les collectivités territoriales, déjà engagées dans un processus de dématérialisation, ont continuées et accélérées dans ce sens. L’État avait déjà initié il y a quelques années un grand plan sur le numérique, toujours en cours, dont l’un des objectifs est d’obtenir 100 % des démarches administratives dématérialisées d’ici 2022. Les démarches s’amplifient et de nouvelles actions sont mises en place dans le cadre notamment du plan Action Publique 2022. Ce plan a 3 objectifs principaux : améliorer la qualité des services publics, plus d’ouverture et de transparence ainsi que plus de souveraineté et de sécurité. Il y a également le développement de la filière cybersécurité dans lequel l’état va investir 1 milliard d’euros.

Les collectivités et le numérique

Les institutions publiques doivent elles aussi suivre les avancées de notre société et donc passer au numérique et à la dématérialisation de leurs services et outils. Bien évidemment, nos gouvernants n’ont pas attendu la crise pour lancer ces projets. Le plan Action Publique 2022 a été initié en 2017. Il était déjà ambitieux, mais l’arrivée de la crise a obligé nos élus à accélérer et renforcer encore ses objectifs.

Hormis la dématérialisation totale des démarches administratives d’ici 2022, ce plan doit aussi améliorer et moderniser les services de l’État. Les collectivités doivent se numériser, moderniser leurs moyens d’actions, développer de nouveaux services comme France Connect notammentpour simplifier l’accès aux sites administratifs, Aidants Connect pour mieux accompagner les publics en difficulté. En internet, il y a la messagerie Tchap qui commence à être déployée.

Avec la crise, le gouvernement a notamment initié le plan France Relance, et la transformation numérique de nos collectivités n’est pas oubliée. Notamment la création du Fond « Transformation numérique des collectivités territoriales » avec un budget de 88 millions d’euros.

Afin de rendre tout cela possible, il faut bien évidemment des moyens, financiers et matériels, mais aussi de la formation à ces nouveaux outils. Dans de petites communes, cela n’est pas toujours simple. Car il faut que ces acteurs, en contact direct avec le public, soient à même de les renseigner et les accompagner comme il faut. Le CNFPT notamment a développé son offre de formation dans ce sens.

Mais il y a aussi des effets pervers à cela, notamment vis-à-vis de l’illectronisme ou du manque de moyens pour certains foyers qui ne sont pas équipés d’un ordinateur.

Pour finir

La modernisation des services publics est en cours depuis plusieurs années maintenant. De grands projets ont été lancés, qu’il faut aujourd’hui accélérer du fait de la crise sanitaire. Ce sont de gros chantiers qu’il va falloir arriver à mener à terme, et qui induisent de grands changements et beaucoup de moyens.

Nos concitoyens aussi sont bien sûr impactés par cela, et eux aussi doivent s’adapter à ces transformations, ce qui n’est pas toujours simple et engendre certaines inégalités. Tout le monde est donc concerné par cette modernisation de nos collectivités et chacun doit agir, se transformer et s’adapter et surtout mettre en place les moyens pour accompagner le changement

Open source – La norme collaborative ?

Open source – La norme collaborative ?

Avec des équipes hybrides, réparties entre présentiel, terrain et télétravail, l’adoption des outils numérique a augmenté de 10 points durant la crise.

Utilisées pour pérenniser les collaborations et simplifier les collaborations, les écarts de formation dans l’usage de ces solutions, le manque d’investissements et leur baisse dû à la crise (43% des petites entreprises vont diminuer leurs investissements dans ce secteur) génèrent cependant des effets indésirables : 91 % des organisations françaises ont été la cible d’au moins une cyberattaque en 2020, détaille BFM TV, pertes de données, charge mentale pour les collaborateurs perdus, voire perte de souveraineté pour les campus, entreprises et collectivités.

Le COVID accélère la tendance

La crise sanitaire a eu pour effet d’augmenter rapidement l’usage des outils numériques dont notamment le recours à des solutions de stockage de documents partagées, de visioconférence, de chat, d’animation de réunion et de brainstorming ou encore de gestion des tâches que l’on regroupe désormais dans ce que l’on appelle des « Digital Workplace ».

Ainsi cette crise a donc, malgré tout, un effet positif dans ce domaine puisqu’elle a permis à notre pays d’accélérer sa transformation numérique. Nos TPE notamment ont commencé à rattraper leur retard dans ce domaine.

Mais, évidemment, tout cela ne se fait pas sans heurts et sans créer quelques contingences. Notamment sur les outils utilisés, du moins au début, lorsqu’il a fallu rapidement mettre en place de nouvelles organisations, nombreux se sontrapidement tournés vers les GAFAM, qui avaient des outils disponibles et facilement utilisables. Mode de fonctionnement hybride, travail parfois à distance, usage de matériel personnel, tout cela engendre également des risques en matière de cybersécurité et de protection des données personnels (RGPD).

 

L’open source, une carte à jouer

C’est là que l’open source montre clairement ses avantages. Alors que par effet de notoriété, les utilisateurs se sont naturellement tournés vers des outils « grands publics », pour la plupart propriétaires et américains, avec le temps de la structuration, l’arrivée de l’open source est désormais en plein essor.

En effet, les usages entre outils grands publics et outils professionnels sont différents : quantités de données à gérer plus importantes, informations critiques, haut niveau de sécurité. La DSI joue un rôle crucial dans la protection de l’organisation. 

Avec plusieurs belles annonces ces derniers mois comme le déploiement de Matrix dans l’Éducation nationale allemande, l’Etat qui recommande l’usage de certains logiciels libres, le rapport du Cigref sur les solutions collaboratives, ou encore la création, en France, d’une commission sur le logiciel libre. L’open source tend à se démocratiser notamment au sein des organisations publiques, pour lesquelles la souveraineté numérique fait partie de leur mission de service public. En effet, il est bien meilleur pour notre économie d’opter pour des solutions développées en France et basées sur de l’open source car cela assure un vrai contrôle du système et des données. D’autant plus que la France est leader Européen dans ce domaine. Certaines entreprises et administrations se sont ainsi tournées vers des solutions comme Jitsi pour la visioconférence, BigBlueButton pour les classes virtuelles, Nextcloud pour le cloud, CryptPad pour du travail collaboratif sécurisé, KanBoard pour la gestion de projets ou encoreMattermost pour la communication entre équipes. Un exemple emblématique a été le Ministère de l’ÉducationNationale qui, après avoir fait le choix d’un outil développé par une société américaine, a finalement déployée son propre système avec des outils libres, qui devrait d’ailleurs être pérennisé : apps.education.fr. Ainsi l’open source permet : le contrôle du système, le respect des données personnelles et la souveraineté numérique.

De plus, un avantage important dans le secteur du développement open source est que les projets reposent sur une communauté de développeurs et d’utilisateurs. Cela permet d’évoluer rapidement, en étant proche et à l’écoute de ses utilisateurs, d’être réactif en cas de besoin ou si un problème de sécurité est découvert.

La digitalisation de nos modes de vie déjà en cours, fortement accélérée par la crise sanitaire, a pour un grand nombre était davantage subit que choisie. Aussi, précipitée, elle a souvent donné lieu à un désordre généralisé dans les outils qu’utilisaient les organisations, difficilement contrôlable par les DSI. Un an après, l’heure est à la mise à plat des outils utilisés avec des cahiers des charges précis à l’appui. Avec les scandales autour de la gestion des données sur Zoom ou encore Whatsapp, nombreuses sont les organisations à sélectionner des solutions européennes et quand c’est possible, open source.

Article co-écrit par Numericatous & Watcha

Digital workplace

Digital workplace

Plateforme_Watcha
Vous souhaitez mettre en place une démarche de numérisation de vos collaborations afin de :

– Mieux répondre aux attentes de vos clients

– Augmenter l’engagement de vos collaborateurs en leur simplifiant le travail

– Améliorer votre marque employeur par la mise en place de solutions « dans l’air du temps »

– Et enfin, sécuriser vos données contre les cyberattaques et vous inscrire dans une démarche de souveraineté numérique… mais entre toutes les « solutions » proposées, difficile de vous y retrouver ?

On vous a simplifié la tâche avec le tableau ci-dessous qui compare factuellement différentes solutions :

Ça vous fait réagir ?

Un manque d’experts en informatique ?

Un manque d’experts en informatique ?

On entend de plus en plus parler de cybersécurité depuis quelques années. Et encore plus avec la crise du COVID où les pirates ont été vraiment très actifs. Des administrations, du phishing chez les particuliers mais surtout des hôpitaux et des centres de recherche médicales. Sans parler de l’attaque de Solarwindsdont on ne connaît pas encore tous les aboutissants. Oui, la cybersécurité est vraiment devenue un enjeu important, une priorité dans l’agenda numérique comme le démontre d’ailleurs les récentes initiatives de Thierry Breton au sein de la Commission Européenne avec la publication de la EU Cybersecurity Strategy and new rules to make physical and digital critical entities more resilient. Mais, encore fautil avoir les ressources pour pouvoir lutter et là, le bât blesse.

Le constat est clair on manque de compétences

Malgré le fait que la cybersécurité soit un enjeu majeur, dans les faits, les ressources sont loin d’être suffisantes, l’étude (ISC)2 évoque un besoin à hauteur de 4 millions de spécialistes. Les études dans ce domaine comme celle menée par (ISC)2 montrent clairement que l’on manque, de personnel qualifié pour répondre à la demande et assurer notre cybersécurité et que les recruteurs dans ce domaine peinent à recruter. On constate un manque de reconnaissance pour ces métiers, perçu trop souvent comme des «métiers de geek», seul(e) devant son écran. Pourtant, ce n’est pas la réalité, et les salaires sont attractifs. A cela s’ajoute un besoin significatif de développer l’offre de formationsUn frein supplémentaire identifié est l’évolution très rapide des technologies, permettant d’améliorer la robustesse de cellesci, mais qui complexifie dans le même temps les recrutements. Pour contrer ce fléau, les entreprises se voient dans l’obligation d’augmenter leurs budgets formation pour ainsi recruter en interne plutôt qu’attirer de nouveaux candidats.

Les besoins sont pourtant là

Le secteur de la cybersécurité ne connaît pourtant pas la crise, au contraire, les besoins en recrutement s’accélèrent (plus de 145% selon l’(ISC)2). Le numérique se développe sous de nombreuses formes dans nos objets, nos communications, nos moyens de déplacement ou d’habitation. Être “connecté(e)” permet certes de nombreux avantages comme le gain de temps, la simplification, l’optimisation de la maintenance et l’augmentation de la performance dû à l’automatisation de nombreuses tâches, néanmoins les risques impliqués sont souvent sousestimés voire complètement oubliésNos entreprises sont vulnérables, tout comme nos administrations qui se dématérialisent de plus en plus. Un exemple marquant : celui des mots de passeoù l’on sait que les plus utilisés sont encore «azerty» ou «1234678». Il y a donc à la fois un besoin de spécialistes en la matière mais aussi un besoin d’éducation des utilisateurs aux bonnes pratiques numériques.

Des initiatives se mettent en place

Heureusement, des initiatives fleurissent impulsées par le Gouvernement. On peut citer par exemple le Campus Cyberqui s’installera à la Défense et qui devrait regrouper une soixantaine d’acteurs. La Bretagnea elle de son côté lancé son CCube, un grand projet qui vise à améliorer. La recherche, la formation et l’innovation dans le domaine de la cybersécurité. Notons également le projet France Cyber Maritime spécifiquement conçu pour ce domaine. BPIFrance a également lancé le projet Grand Défi Cybersécurité. Nos TPE et PME ne sont pas oubliées avec de nouveaux programmes de formation pour les accompagner et des écoles et centres de formation se mobilisent également avec l’aide de l’ANSSI qui propose des labels de qualité spécifique à ce domaine et soutien le développement de nouvelles écoles pour former des professionnels dans ce secteur. Vous trouverez d’ailleurs ici un classement des meilleurs cursus.

Un retard certain mais une prise de conscience bien réelle

Comme le montrent les études, malgré le retard certain, de nombreuses initiatives voient le jour afin de contrer cette situation et de former les spécialistes de demain et s’engager ensemble vers davantage de souveraineté numérique.

 


Article co
rédigé par Watcha & Numericatous.
Souveraineté numérique et collectivités

Souveraineté numérique et collectivités

L’arrivée du Règlement Européen pour la protection des données en Europe, la promulgation du Cloud Act en parallèle aux États-Unis, mais aussi la nécessité de dématérialiser les services publics posent de nouvelles questions pour les collectivités sur la souveraineté numérique. Elles investissent dans des protections très coûteuses ou bien n’ont pas réellement conscience des répercussions, alors que des solutions simples peuvent être mises en place.

La cybersécurité était un sujet que la plupart des collectivités négligeaient du fait de son approche très macro mais avec la croissances des cyberattaques et des rançongiciels, la souveraineté numérique est devenue une priorité dans l’agenda politique en France et à l’International. On a par exemple vu récemment l’Education Nationale Allemande déployer la solution open source Matrix pour ses 350000 utilisateurs, ou encore la Ville de Lyon obtenir le niveau 3 du Label “ Territoire numérique libre” avec une volonté forte d’indépendance vis à vis des solutions étrangères et un souhait de transparence de la gestion des données publiques.

La souveraineté numérique désignant l’application des principes de souveraineté au domaine des technologies de l’information et de la communication (TIC), c’est-à-dire à l’informatique et aux télécommunications, comment les collectivités peuvent-elles assurer un service numérique transparent, peu coûteux, sécurisé et qui répond aux exigences de la RGPD et de la cybersécurité ?

Quelques chiffres clés :

  • Le secteur public est le 5ème secteur d’activité le plus touché par les cyberattaques
  • 35 % des cyberattaques proviennent des employés et 30 % des anciens employés

Source : guide cybercriminalité

De quelles données s’agit-il ?

Le numérique est perçu généralement à travers des données, qu’il s’agisse de données personnelles, de données économiques ou de données stratégiques traitées par les collectivités locales. Cependant, ce serait une erreur de se concentrer uniquement sur ces données, car la transformation numérique concerne également des infrastructures telles que les transports, la distribution d’eau potable, le traitement des déchets et, plus récemment, les services publics du bâtiment (climatisation, lutte contre les incendies, maîtrise de l’eau…).

L’importance de la souveraineté numérique pour ma collectivité :

Aspect financier et économique : 

Généralement, il est difficile dévaluer les pertes financières exactes dune défaillance de cybersécurité car il ne sagit pas seulement d’outils endommagés, mais de tout un écosystème qui est impacté.

Néanmoins, une étude effectuée par “Le cabinet PwC” en 2017 indique :

  • une hausse de 50% des pertes financières en raison de problèmes de cybersécurité par rapport à 2016, soit 2,25 M€ en moyenne ;
  • que 75 % des failles identifiées étaient d’origine humaine ;
  • au moins 4 PME sur 10 ont déjà subi des attaques informatiques : 24 % du phishing, 20 % un malware, 16 % un ransomware et 6 % une fraude au président ;
  • que 87% des consommateurs sont prêts à retirer leur contrat dune société qui affiche une faille informatique.

D’autre part selon une étude Hiscox :

“Plus de trois entreprises sur cinq (67 %) ont été la cible d’une ou plusieurs attaques au cours des 12 derniers mois en France. En conséquence, on estime la moyenne des pertes financières à 327 797€. Le coût moyen des cyberattaques s’élève à 97 717€ en France contre 43 528€ en 2018, soit une augmentation de 125%. Pour les grandes entreprises (250-999 employés), la moyenne des pertes culmine à 621 838€, contre 143 911€ en 2018. 20 % des TPE ont subi un préjudice supérieur à 50 000€ et supérieur à 100 000€ pour 13 % dentre elles. Concernant les grands groupes, ce chiffre varie selon les sources, de 0,2 M$ à 3,6 M$. A titre d’exemple, Saint-Gobain a reconnu avoir perdu 80 M€ de chiffre d’affaires, en juin 2017, avec la cyberattaque NotPetya, un ransomware qui a bloqué son activité pendant dix jours”.

A part l’aspect financier, d’autres problème sont plus difficiles à évaluer et résoudre comme l’impact sur l’image suite à une défaillance de sécurité.

Aspect commercial :

Le marché de la donnée est dominé au niveau mondial par des multinationales américaines et chinoises : les GAFAM (Google, Amazon, Facebook, Microsoft) et les BATX (Baidu, Alibaba, Tencent et Xiaomi). Ces sociétés sont les véritables chevaux de Troie d’Etats qui se livrent une guerre pour obtenir le monopole de ce marché.

Dans ce contexte, en tant que collectivités françaises, bien choisir ses outils numériques est crucial afin de ne pas rentrer dans cette guerre concurrentielle où l’éthique n’est vraiment la priorité première…

Aspect humain :

Enfin on constate que de plus en plus d’employés, notamment les nouvelles générations sont sensibles à l’éthique des organisations dans lesquelles elles sont recrutées. Aussi, présenter à la fois une démarche de transformation digitale élevée sans compromettre pour autant la sécurité, la transparence, la confidentialité et la qualité des outils peut être vu comme une plus-value pour votre marque employeur.

Venez découvrir comment Watcha participe dans la souveraineté numérique en vous inscrivant à nos Démo gratuites.

N’hésitez pas de nous contacter pour toute information complémentaire.

Cybersécurité pour les collectivités

Cybersécurité pour les collectivités

La cybersécurité est un sujet qui ne touche pas seulement les métropoles mais tout le territoire et ses acteurs. Elle ne concerne pas que les entreprises mais aussi les collectivités, les hôpitaux, les associations…etc. Le nombre des cyberattaques, que ce soit dans le secteur public ou privé, est en hausse permanente. Bien souvent, leur traitement médiatique se limite à mettre en avant des cas emblématiques. Cependant, ces exemples ne doivent pas cacher le fait qu’il existe de nombreuses attaques ou piratages visant les collectivités.

 

Quelques cyberattaques contre des collectivités en France :

2018 : + 630 communautés en France ont été victimes d’une cyberattaque.

2019 : 

  • Ransomware Sarrebourg (Moselle). Les pirates exigent 53 400€ en bitcoins, en échange de la clé de déchiffrement des données.
  • La mairie de Sequedin a reçu une demande de 50 000€ en bitcoins afin de recouvrer l’accès à ses serveurs informatiques.
  • Piratage des services du centre hospitalier Charles Nicol à Rouen.
  • Un virus a infecté une partie des serveurs de l’administration de la ville de Nuits-Saint-Georges et de l’intercommunalité GevreyNuits, une demande de rançon a été émise.

Menaces, causes et responsabilités :

La mise en œuvre de la protection des données devient de plus en plus importante à cause de ces nouvelles menaces. Cette protection est généralement ignorée sous prétexte de «coût élevé», mais il est clair que les dommages causés coûtent plus chers pour toutes les organisations, car en plus de la perte de données, ce type d’attaque peut également nuire à l’image de la communauté.  Voici donc les principales menaces pour votre collectivité :

La défiguration de sites Internet / la prise de contrôle des réseaux sociaux de la collectivité : Par défaut de sécurité, un groupe ou un individu (pirate informatique) peut contrôler le contenu du site internet ou des réseaux sociaux d’une collectivité, le modifier, le supprimer ou exprimer toutes sortes de revendications, y compris illégales, au nom de la commune.

Vol de données à caractère personnel : Avoir des mots de passe trop simples, ou un défaut de mise à jour des logiciels de sécurité, permettent l’accès aux données des employés de la collectivité ou à celles des administrés qui utilisent certains services.

Rançongiciel : Ce virus informatique chiffre les données numériques. Il se développe rapidement et est techniquement difficile à gérer.

Savez-vous que 30% des collectivités sont victimes d’un rançongiciel et qu’une seule collectivité tirée de ces 30% a pu présenter l’impact financier de ces attaques qui était de l’ordre de 400.000 euros. Une grande somme qui n’est pas évaluée et pris en compte ?

Les raisons de ces attaques restent variées et touchent l’ensemble de l’organisme :

  • La structuration modeste des politiques de sécurité par faute de négligence.
  • Le manque de compétences en matière de code et de techniques de sécurité empêche les collectivités d’analyser la performance des solutions vendues par les prestataires.

Selon une étude faite le 30 juin 2020 par le Clusif (Club de la Sécurité de l’Information Français) sur les menaces informatiques et pratiques de sécurité, les collectivités ont du mal à recruter des DSI par défaut d’insuffisance de compétences dans le marché Français.

  • Manque d’évaluation financière et de recherche de la source de l’attaque.

Selon le RSSI de Grenoble Alpes Métropole : « Les collectivités imposent des clauses de sécurité dans les cahiers des charges, sans être capables d’en vérifier le respect par les prestataires”. “En fait, comme la plupart des collectivités affirment avoir pu récupérer leurs données, elles ne creusent pas plus à fond les causes de l’attaque et son impact financier. Or cette évaluation des coûts aiderait les directions informatiques à anticiper et à mieux négocier leur budget sécurité ».

 

La sécurité des données :

Les collectivités détiennent souvent des informations qui peuvent être très sensibles et qui sont devenues vulnérables aux risques numériques avec l’accélération non maîtrisée de la numérisation de leurs infrastructures. La sécurité de ces données devient prioritaire.  Il est très important de respecter les règles de protection de ces données car c’est un facteur de transparence et de confiance à l’égard des usagers et du personnel qui y travaille.

Les applications ou fichiers utilisés par les collectivités regroupent souvent de nombreuses informations à caractère personnel ainsi que sur tout l’environnement interne et externe de ces dernières. Leur mauvaise utilisation peut porter atteinte aux droits et libertés des personnes ou à leur vie privée.

A ce titre, la cybersécurité est un aspect stratégique de toute organisation et se doit de faire l’objet d’une véritable prise en charge par le plus haut niveau hiérarchique, qui seul pourra insuffler l’impulsion nécessaire à la mise en œuvre d’une politique de cybersécurité transverse, touchant l’ensemble des métiers nécessaire pour atteindre un niveau d’efficacité performant.

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L’Affaire WhatsApp : Regards vers les solutions Open Source

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BNP Paribas et Société Générale ont été condamnées à payer des amendes combinées de 110 millions de dollars en relation avec l'affaire WhatsApp. Cette situation met en évidence les défis de conformité aux réglementations et souligne l'importance croissante des solutions de communication sécurisées et des outils de gestion de projet open source au sein des entreprises privées.

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Les conséquences de l'affaire WhatsApp aux États-Unis se font durement ressentir chez BNP Paribas et Société Générale, les deux principales banques françaises. En effet, les récentes sanctions imposées par les autorités américaines ont engendré des coûts substantiels pour ces institutions financières. Cette situation soulève également la question de l'efficacité des outils de communication et de gestion de projet en entreprise, mettant en lumière l'intérêt croissant d'adopter des suites collaboratives open source.

Cette affaire à mis en avant la vulnérabilité des banques internationales aux réglementations et aux sanctions américaines. Tandis que BNP Paribas et Société Générale sont aux prises avec des amendes importantes, il est évident que la confiance des investisseurs et des clients peut être ébranlée par de telles affaires. La nécessité d'assurer la sécurité des communications est plus pressante que jamais.

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C'est dans ce contexte que se pose la question de l'adoption d'outils collaboratifs open source pour les échanges et la gestion de projet en entreprise. Ces suites logicielles offrent une alternative attrayante aux solutions propriétaires, car elles permettent aux entreprises de contrôler elles-mêmes leur infrastructure de communication et de collaboration. Plutôt que de dépendre de plateformes tierces, les entreprises peuvent héberger leurs propres solutions, garantissant ainsi une plus grande confidentialité et sécurité des données.

Les avantages des suites collaboratives open source, tel que Watcha, vont au-delà de la seule sécurité. Elles offrent également une personnalisation et une flexibilité accrues, permettant aux entreprises de façonner les outils en fonction de leurs besoins spécifiques. De plus, ces solutions ouvrent la voie à une collaboration transparente et fluide au sein de l'entreprise, favorisant ainsi une meilleure gestion de projet et une communication plus efficace entre les équipes.

En optant pour des solutions open source, les entreprises peuvent également réduire les coûts à long terme. Plutôt que de payer des frais de licence pour des logiciels propriétaires, elles peuvent investir dans le développement, la personnalisation et la maintenance de leurs propres solutions, ce qui peut s'avérer économiquement avantageux sur le long terme.

En conclusion, l'affaire WhatsApp aux États-Unis a mis en évidence les conséquences financières potentiellement désastreuses auxquelles les entreprises peuvent être confrontées en cas de défaillance des outils de communication et de gestion de projet.

Cette situation renforce l'argument en faveur de l'utilisation de suites collaboratives open source, offrant sécurité, personnalisation et contrôle tout en réduisant les coûts. Pour les entreprises cherchant à se prémunir contre de tels risques et à améliorer leur efficacité opérationnelle, l'adoption de solutions open source apparaît de plus en plus comme une option judicieuse et pertinente.

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Pour la réunion de demain, prenez vos casques VR !

Le nouveau sujet qui attire toutes les conversations depuis quelques mois maintenant, que l’on aime ou qu’on déteste, impossible de passer à coté, encore plus depuis le rebranding de Facebook en Méta, c’est le Metaverse.

Le metaverse désigne une expérience dans un environnement virtuel en trois dimensions, où il est possible d’évoluer à travers un avatar ou un hologramme. Cette réalité alternative permet de discuter avec d’autres personnes mais également d’apprendre, de travailler ou encore de jouer.

#Metaverse et #OpenSource ensemble c’est possible ?

Matrix.org, protocole de communication qui permet des communications en temps réel sur le web, a lancé le mois dernier THIRD ROOM.

Logo Third Room

Third Room une vision ouverte, standardisée et décentralisée du metaverse pour le web entièrement construite sur Matrix. Les prémices du projet sont déposés en octobre 2017. C’est en mars 2022 que le projet se commence à se développer d’avantage, avec une augmentation des « commits » sur GitHub et il est lancé officiellement en septembre 2022. Il est possible depuis de rejoindre la version ouverte sur thirdroom.io.

Pour Matrix, Third room c’est simplifier l’utilisation des mondes virtuels qui est souvent réservée aux utilisateurs de casque VR. La webapp permet à chacun de développer des mondes et avatars en 3D... À l’avenir sera accessible aussi, une plateforme sur laquelle les designers 3D pourront monétiser leurs créations. Pour ouvrir un nouveau monde, il suffit de créer une nouvelle conversation sur Matrix.

Même si ce projet reste pour l’instant dans un but ludique, une utilisation plus professionnelle pourrait se dessiner d’ici quelques mois. Avec l’annonce du partenariat entre Teams de Microsoft et Méta, le metaverse commence à intégrer le monde de travail. 

D’après les équipes de Microsoft « 50 % de la génération Z et de la génération Y envisagent de faire une partie de leur travail dans le metaverse au cours des deux prochaines années ».

Et vous ? Vous vous voyez faire vos prochaines réunions avec un casque VR ?

European Champions Alliance cite Watcha dans son mapping consacré à la cybersécurité

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Watcha cité parmi les acteurs contribuant à la souveraineté numérique en Europe par l’European Champions Alliance dans son premier mapping concernant la cybersécurité sur le continent.

Watcha est nommé au côté de nombreux acteurs importants au niveau européen et mondial, comme Ledger, Tanker et Oodrive. C’est avec une grande fierté que nous accueillons cette nomination qui nous conforte dans notre démarche visant à promouvoir la sécurité et la transparence des outils de collaborations professionnels. 

Vous pouvez retrouver le mapping complet ici. 

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Vous souhaitez plus d’informations ? Contactez-nous : contact@watcha.fr

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Les ambitions majeures dans le domaine de l’IA, de l’AGI, et de l’Open Source

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L'univers de l'intelligence artificielle (IA) vient de recevoir un nouvel élan, avec une annonce audacieuse de Meta, dirigée par Mark Zuckerberg. L'entreprise, anciennement connue sous le nom de Facebook, dévoile des projets ambitieux dans le développement d'une Intelligence Artificielle Générale (AGI), en particulier avec son modèle Llama, tout en soulignant son engagement envers l'open source.

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L'AGI, Graal de l'IA

L'objectif majeur de Meta est la création d'une AGI, souvent considérée comme le Saint Graal de la recherche en intelligence artificielle. Cela signifie développer une IA capable de comprendre, d'apprendre et d'appliquer des connaissances de manière similaire à l'intelligence humaine. L'AGI promet une polyvalence et des performances supérieures par rapport aux systèmes actuels, ouvrant la voie à des applications révolutionnaires dans des domaines variés tels que la santé, l'éducation, l'environnement et le divertissement.

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Le Projet Llama et les avancées de Meta

Meta a décidé de réunir ses deux groupes de recherche en IA, FAIR (Facebook AI Research) et GenAI (Generative AI), au sein d'une nouvelle entité appelée Meta AI. Cette fusion vise à stimuler la collaboration et la synergie entre chercheurs et ingénieurs pour accélérer les percées en matière d'IA. Le modèle de nouvelle génération, le Llama 3, est actuellement en cours de formation, mettant l'accent sur la capacité à générer du code, une compétence jugée cruciale pour le développement d'une IA plus intelligente.

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Une communauté Open Source

Une des annonces les plus marquantes de Mark Zuckerberg est l'intention de rendre l'AGI de Meta open source. Cela signifie que le code source et les modèles seront partagés avec la communauté scientifique et le grand public, dans le respect des règles éthiques et juridiques. Zuckerberg est convaincu que cette approche favorisera l'innovation, accélérera les progrès de l'IA, et démocratisera l'accès à cette technologie révolutionnaire.

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Réactions et Enjeux : 

L'annonce de Meta a suscité des réactions variées dans le monde de l'IA. Certains saluent la vision audacieuse de Zuckerberg et son engagement envers la transparence et l'open source, tandis que d'autres expriment leur scepticisme quant aux motivations réelles de l'entreprise. Les préoccupations éthiques liées au développement de l'AGI, telles que le contrôle et les implications sur les droits de l'homme, sont également mises en avant.

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Bataille des Talents et Puissance de Calcul : 

La compétition intense pour attirer les meilleurs talents en IA est soulignée, avec des salaires astronomiques aux États-Unis. La puissance de calcul nécessaire pour former de grands modèles est également un enjeu clé, et Meta prévoit de se doter d'une capacité importante avec plus de 340 000 GPU Nvidia H100 d'ici la fin de l'année.

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L'annonce de Meta et de Mark Zuckerberg marque une étape significative dans la course à l'AGI et souligne l'importance de l'open source dans le domaine de l'IA. Les défis techniques et éthiques ne sont pas négligés, mais l'engagement envers la transparence et la collaboration semble être au cœur de cette nouvelle ère de développement de l'IA. Le futur s'annonce prometteur et complexe, avec des avancées technologiques qui pourraient façonner de manière significative notre interaction avec l'intelligence artificielle.

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