Watcha s’associe à la Digital League pour créer une plateforme collaborative afin que chaque entreprises partagent ses bonnes pratiques ou demandent conseils en cette période de COVID-19.
Watcha au service de la Digital League et de ses membres
Retrouvez des salons thématiques en fonction des différents métiers : RH, management, juridique, financier, etc. Échanger directement avec les autres entreprises ainsi que des experts qui seront là pour répondre à vos questions. Tous les échanges sont privés et sécurisés et vous avez la possibilité de discuter en privé avec d’autres entreprises en fonction de vos problématiques.
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Afin de répondre aux enjeux de collaboration a distance des étudiants et des professionnels, l’EM Lyon Business School déploie la solution Watcha.
Au sein de l’EM Lyon Business School, le programme pédagogique Transforming early Makers (TEM) réunit 240 étudiants issus de cinq masters différents durant trois mois. Les étudiants y travaillent sur un thème donné, choisi dans une liste et attribué selon la motivation de chaque groupe de candidats. Le projet issu du travail de groupe doit être incubable et ne pas être une simple présentation théorique. Les étudiants sont accompagnés par des professionnels issus d’entreprises partenaires. Du coup, les échanges entre étudiants comme entre les étudiants et les intervenants externes ou le responsable pédagogique se doivent de disposer d’une réelle confidentialité.
« Nous avons constaté, lors de la première session de ce programme, une propension des étudiants à utiliser des outils tels que WhatsApp, Facebook… Mais ces outils n’apportent que peu de garanties en matière de confidentialité et aucune en matière de gouvernance des données ! Une alternative était donc indispensable.. »
Stéphane Delmon, responsable du programme Master Transforming early Makers
Une double problématique
Il va de soi que les étudiants doivent apprendre à collaborer et à travailler en groupe à l’heure digitale. Il était donc primordial pour l’EM Lyon Business School, au travers de son programme TEM, de mettre à disposition des outils pour communiquer et partager, le tout en ubiquité avec responsive design pour la compatibilité avec tous types de terminaux (smartphones, laptops, desktops … ).
Mais cet apprentissage doit être aussi celui des enjeux professionnels tels que la confidentialité et la sécurité. L’EM Lyon Business School a finalement fait le choix de la solution de Watcha pour la deuxième édition du programme pédagogique Transforming early Makers qui a lieu de début septembre à fin novembre 2018. La solution crypte de bout en bout les communications et les données stockées.
« Pour l’instant, la solution est hébergée par l’éditeur et nous ne l’avons pas intégrée au système d’information de l’école même si c’est techniquement possible. Nous avons apprécié que les données soient très compartimentées, avec une capacité à accorder des droits précis dans les salons comme à mener des conversations privées. Les fonctionnalités sont très largement supérieures à celles des solutions B2C, c’est un vrai produit B2B qui reste simple d’utilisation. Enfin, dernier élément pour arrêter notre choix, la possibilité de collaborer au-delà du cercle des utilisateurs en partageant un lien à la manière de WeTransfer. »
Précise Stéphane Delmon
Eviter le shadow IT
Respecter les contraintes de sécurité permettait d’éviter un shadow-IT potentiellement dangereux. L’outil permet ainsi les échanges instantanés de type Whatsapp, le partage de fichiers, la vidéoconférence, avec en plus la personnalisation de la présentation. Simple, rapide et sécurisé, Watcha a immédiatement été pris en main par les étudiants et les professeurs. Bien que confidentiel, le coût a également été jugé attractif par rapport à des solutions concurrentes. Les 300 utilisateurs réguliers ont créé et utilisent une centaine de salons où les échanges sont intenses.
Avec une solution digitale de nouvelle génération, adaptée aux étudiants, l’EM Lyon Business School encourage collaboration et innovation
BNP Paribas et Société Générale ont été condamnées à payer des amendes combinées de 110 millions de dollars en relation avec l'affaire WhatsApp. Cette situation met en évidence les défis de conformité aux réglementations et souligne l'importance croissante des solutions de communication sécurisées et des outils de gestion de projet open source au sein des entreprises privées.
Les conséquences de l'affaire WhatsApp aux États-Unis se font durement ressentir chez BNP Paribas et Société Générale, les deux principales banques françaises. En effet, les récentes sanctions imposées par les autorités américaines ont engendré des coûts substantiels pour ces institutions financières. Cette situation soulève également la question de l'efficacité des outils de communication et de gestion de projet en entreprise, mettant en lumière l'intérêt croissant d'adopter des suites collaboratives open source.
Cette affaire à mis en avant la vulnérabilité des banques internationales aux réglementations et aux sanctions américaines. Tandis que BNP Paribas et Société Générale sont aux prises avec des amendes importantes, il est évident que la confiance des investisseurs et des clients peut être ébranlée par de telles affaires. La nécessité d'assurer la sécurité des communications est plus pressante que jamais.
C'est dans ce contexte que se pose la question de l'adoption d'outils collaboratifs open source pour les échanges et la gestion de projet en entreprise. Ces suites logicielles offrent une alternative attrayante aux solutions propriétaires, car elles permettent aux entreprises de contrôler elles-mêmes leur infrastructure de communication et de collaboration. Plutôt que de dépendre de plateformes tierces, les entreprises peuvent héberger leurs propres solutions, garantissant ainsi une plus grande confidentialité et sécurité des données.
Les avantages des suites collaboratives open source, tel que Watcha, vont au-delà de la seule sécurité. Elles offrent également une personnalisation et une flexibilité accrues, permettant aux entreprises de façonner les outils en fonction de leurs besoins spécifiques. De plus, ces solutions ouvrent la voie à une collaboration transparente et fluide au sein de l'entreprise, favorisant ainsi une meilleure gestion de projet et une communication plus efficace entre les équipes.
En optant pour des solutionsopen source, les entreprises peuvent également réduire les coûts à long terme. Plutôt que de payer des frais de licence pour des logiciels propriétaires, elles peuvent investir dans le développement, la personnalisation et la maintenance de leurs propres solutions, ce qui peut s'avérer économiquement avantageux sur le long terme.
En conclusion, l'affaire WhatsApp aux États-Unis a mis en évidence les conséquences financières potentiellement désastreuses auxquelles les entreprises peuvent être confrontées en cas de défaillance des outils de communication et de gestion de projet.
Cette situation renforce l'argument en faveur de l'utilisation de suites collaboratives open source, offrant sécurité, personnalisation et contrôle tout en réduisant les coûts. Pour les entreprises cherchant à se prémunir contre de tels risques et à améliorer leur efficacité opérationnelle, l'adoption de solutions open source apparaît de plus en plus comme une option judicieuse et pertinente.
Le nouveau sujet qui attire toutes les conversations depuis quelques mois maintenant, que l’on aime ou qu’on déteste, impossible de passer à coté, encore plus depuis le rebranding de Facebook en Méta, c’est le Metaverse.
Vue Third Room
Le metaverse désigne une expérience dans un environnement virtuel en trois dimensions, où il est possible d’évoluer à travers un avatar ou un hologramme. Cette réalité alternative permet de discuter avec d’autres personnes mais également d’apprendre, de travailler ou encore de jouer.
#Metaverse et #OpenSource ensemble c’est possible ?
Matrix.org, protocole de communication qui permet des communications en temps réel sur le web, a lancé le mois dernier THIRD ROOM.
Logo Third Room
Third Room une vision ouverte, standardisée et décentralisée du metaverse pour le web entièrement construite sur Matrix. Les prémices du projet sont déposés en octobre 2017. C’est en mars 2022 que le projet se commence à se développer d’avantage, avec une augmentation des « commits » sur GitHub et il est lancé officiellement en septembre 2022. Il est possible depuis de rejoindre la version ouverte sur thirdroom.io.
Pour Matrix, Third room c’est simplifier l’utilisation des mondes virtuels qui est souvent réservée aux utilisateurs de casque VR. La webapp permet à chacun de développer des mondes et avatars en 3D... À l’avenir sera accessible aussi, une plateforme sur laquelle les designers 3D pourront monétiser leurs créations. Pour ouvrir un nouveau monde, il suffit de créer une nouvelle conversation sur Matrix.
Même si ce projet reste pour l’instant dans un but ludique, une utilisation plus professionnelle pourrait se dessiner d’ici quelques mois. Avec l’annonce du partenariat entre Teams de Microsoft et Méta, le metaverse commence à intégrer le monde de travail.
D’après les équipes de Microsoft « 50 % de la génération Z et de la génération Y envisagent de faire une partie de leur travail dans le metaverse au cours des deux prochaines années ».
Et vous ? Vous vous voyez faire vos prochaines réunions avec un casque VR ?
Salon Third RoomSalon Third Room
European Champions Alliance cite Watcha dans son mapping consacré à la cybersécurité
Watcha cité parmi les acteurs contribuant à la souveraineté numérique en Europe par l’European Champions Alliance dans son premier mapping concernant la cybersécurité sur le continent.
Watcha est nommé au côté de nombreux acteurs importants au niveau européen et mondial, comme Ledger, Tanker et Oodrive. C’est avec une grande fierté que nous accueillons cette nomination qui nous conforte dans notre démarche visant à promouvoir la sécurité et la transparence des outils de collaborations professionnels.
Dans un monde de plus en plus interconnecté, la cybersécurité est devenue une préoccupation majeure. La Commission européenne a récemment proposé une législation ambitieuse pour renforcer la cybersécurité des produits numériques, connue sous le nom de Cyber Resilience Act (CRA). Dans cet article, nous allons plonger dans les détails du CRA, comprendre ses objectifs, ses implications potentielles et les défis qu'il pose.
Le CRA est une proposition législative de la Commission européenne qui vise à améliorer la cybersécurité des produits matériels et logiciels comportant des éléments numériques. Son objectif central est de garantir la sécurité des citoyens européens et des entreprises contre les cybermenaces croissantes. Le CRA introduit un cadre réglementaire qui exige des normes de sécurité dès la conception des produits numériques et rend les entreprises responsables de la sécurité de leurs produits tout au long de leur cycle de vie.
Les Principaux Objectifs du CRA
1️⃣ Normes de Sécurité : Le CRA exige que les produits numériques respectent des normes de sécurité élevées dès leur conception. Cela signifie que les entreprises doivent intégrer la sécurité dans le processus de développement.
2️⃣ Responsabilité Légale : Les entreprises et les organisations qui développent et distribuent des produits numériques dans le cadre de leurs activités commerciales seront légalement responsables de la sécurité de leurs produits. Cela signifie qu'elles devront prendre des mesures pour gérer les vulnérabilités et signaler les incidents de sécurité.
3️⃣ Mises à Jour de Sécurité : Le CRA exige que les fabricants assurent la fourniture continue de mises à jour de sécurité pour leurs produits pendant au moins cinq ans après leur sortie sur le marché. Cela vise à garantir que les produits restent sécurisés face aux menaces en constante évolution.
4️⃣ Signalement des Vulnérabilités : Les fabricants de produits numériques critiques devront signaler rapidement les nouvelles vulnérabilités découvertes à l'Agence de l'Union européenne pour la cybersécurité (ENISA) dans un délai de 24 heures.
Les Implications pour l'Industrie
Le CRA a des implications significatives pour l'industrie des technologies numériques. Il incite les entreprises à revoir leurs pratiques de développement pour mettre davantage l'accent sur la sécurité dès le départ. Cela peut entraîner des coûts supplémentaires pour les entreprises, mais il est essentiel de garantir la sécurité des produits numériques.
De plus, le CRA ne fait pas de distinction claire entre les logiciels open source et les logiciels propriétaires. Cela suscite des inquiétudes quant à son impact sur la collaboration et l'innovation au sein de la communauté open source.
Les Défis à Relever
Bien que le CRA vise à renforcer la cybersécurité, certains défis doivent être relevés. La définition de l'"activité commerciale" est floue, ce qui crée de l'incertitude quant à son application aux projets open source. De plus, les petites entreprises et les startups pourraient avoir du mal à respecter les exigences du CRA en raison de leurs ressources limitées.
Le Cyber Resilience Act représente un effort important pour renforcer la cybersécurité en Europe. Cependant, il est essentiel de trouver un équilibre entre la sécurité numérique et l'innovation. La législation doit être affinée pour tenir compte de la nature collaborative de l'open source et des besoins des petites entreprises.
Le CRA souligne l'importance de la cybersécurité dans un monde de plus en plus numérique, mais il est crucial de veiller à ce que ses implications ne freinent pas l'innovation. La sécurité et l'innovation peuvent coexister, et c'est le défi que le CRA et l'industrie numérique doivent relever ensemble pour assurer un avenir numérique plus sûr et plus innovant en Europe.
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