Depuis peu, la Confédération Suisse a adopté une approche novatrice en matière de communication numérique en optant pour Mastodon, une plateforme de médias sociaux décentralisée, tout en laissant de côté les solutions propriétaires. Cette décision audacieuse reflète une tendance croissante parmi les entreprises et les collectivités à privilégier des alternatives open source, marquant ainsi un tournant significatif dans le paysage numérique.
Mastodon, un réseau social décentralisé, a gagné en popularité pour ses principes de décentralisation et de respect de la vie privée. La Confédération Suisse a récemment lancé son propre « instance » Mastodon nommée « social.admin.ch », dans le cadre d’un projet pilote d’un an. Cette instance est mise à la disposition du Conseil fédéral et des départements pour héberger des comptes officiels, marquant ainsi un engagement en faveur de la souveraineté numérique et de la protection des données.
Le choix de Mastodon par la Suisse n’est pas isolé. Depuis quelques années, de nombreuses entreprises et collectivités ont progressivement délaissé les solutions propriétaires au profit de plateformes open source. Cette transition est motivée par plusieurs facteurs, notamment les préoccupations croissantes en matière de sécurité des données, les risques liés à la centralisation des plateformes, et la volonté de réduire la dépendance envers les grandes entreprises technologiques.
De plus, un autre exemple éclatant de cette tendance émerge avec l’abandon de solution propriétaire dans la collaboration. Ces solutions offre une alternative flexible et transparente pour la collaboration au sein des collectivités.
L’utilisation de Watcha par ces villes démontre que la recherche de solutions open source ne se limite pas aux réseaux sociaux, mais s’étend également aux outils collaboratifs. Watcha offre une plateforme permettant une collaboration efficace tout en garantissant la maîtrise locale des données.
Le projet pilote de la Confédération Suisse sur Mastodon, avec son instance « social.admin.ch », et l’adoption de Watcha par les villes de Lyon et Villeurbanne témoignent d’une volonté croissante des institutions publiques de prendre le contrôle de leur présence numérique. Cette démarche alignée sur les principes de décentralisation, de protection des données et d’indépendance vis-à-vis des solutions propriétaires trace la voie vers une nouvelle ère où les alternatives open source occupent une place centrale dans la sphère publique et institutionnelle.
Et si vous aussi vous quittiez votre solution de collaboration actuelle pour rejoindre Watcha ?
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