Connaissez-vous le #cyberscore ? Projet porté par Laurent Lafon. Notre Developer Sylvain Morisse a été interviewé par OUR(S) – Le média de la communication afin de donner son avis à ce sujet. D’après lui, cela permettrait d’apporter davantage de transparence sur le traitement des données mais aussi d’améliorer l’impact environnemental des sites web. Et vous qu’en pensez-vous ?
Watcha s’inscrit dans une démarche de souveraineté numérique afin de proposer un outil collaboratif simple d’utilisation sans compromettre la sécurité ni la transparence. Pour cela, notre technologie se base sur des solutions Open Source en laissant à nos clients la possibilité de choisir entre SaaS, On-Premise ou leur propre Cloud Provider.
Aujourd’hui, nous sommes ravies de vous annoncer que Watcha a intégré le programme startup d’OVH. Une nouvelle possibilité d’hébergement est offerte à nos clients qui est parfaitement alignée avec les valeurs de souveraineté chères à OVH comme à Watcha.
Le Startup Program OVHcloud c’est +1800 startups accompagnées depuis 2015 et l’opportunité de bénéficier d’un accompagnement personnalisé pour renforcer son infrastructure informatique, gagner en visibilité et entrer au sein d’un écosystème actif de partenaires.
Ainsi en rejoignant le Startup Program OVHcloud, Watcha continue son développement tout en renforçant son expertise technologique.
Besoin de plus d’informations sur Watcha ? Contactez-nous ou participez à nos Démo gratuites.
Xavier Lecomte, CEO Watcha :
« Je suis personnellement très heureux de notre intégration au sein du programme startup d’OVH :
une nouvelle possibilité d’hébergement pour nos clients, possibilité retenue notamment par l’agglomération de Valence avec un profil de mission exigeant (200 connexions simultanées pour les visioconférences)
un partenariat avec une icône de la tech française avec laquelle nous partageons un socle de valeurs important, notamment sur les questions de souveraineté. »
Xavier Lecomte, CEO de Watcha, a été interviewé par Dominique Tessier, animateur du groupe de discussion sur la cybersécurité de la European Champions Alliance, à propos de l’importance des digital workplaces au sein de toute organisation et comment Watcha répond à ce besoin.
Xavier Lecomte, the CEO and Founder of Watcha had the chance to be interviewed by Dominique Tessier, Host of ECA Cybersecurity Focus group about the importance of full remote in companies nowadays and how Watcha is able to make this « new way of work » much easier and secured!
Voici l’article complet de l’interview / For more information, here’s the full article:
Retrouvez notre CEO, Xavier Lecomte au micro de Loïc Landrau sur le plateau d’Objectif Croissance, l’émission estivale de BFM Business qui met en avant les PME à succès. Il présente plus en détail Watcha et ses fonctionnalités.
Vous souhaitez plus d’informations ? Contactez-nous : contact@watcha.fr
Le programme d’accompagnement et d’accélérateur des PME de l’EM Lyon dont est issu Xavier Lecomte, CEO de Watcha, lui a donné la parole lors d’une interview pour qu’il revienne sur son parcours et nous en dise plus sur les bienfaits d’EdJobTech acceleration by emlyon.
Vous souhaitez plus d’informations ? Contactez-nous : contact@watcha.fr
Prise de parole de Xavier Lecomte restitué par Pauline Lambert dans la Tribune de Lyon n°695.
À l’heure où les actes de cyber malveillance explosent, les dirigeants, mais aussi avocats ou comptables sont plus que jamais sensibilisés à la nécessité de sécuriser leurs informations. Face à ce marché, énorme, Xavier Lecomte a décidé de créer Watcha, une application disponible sur tous les dispositifs, qui d’une part est aussi simple d’usage que WhatsApp et d’autre part, sécurisée.
« On ne vise pas les digital natives mais bien tous ceux pour qui la confidentialité représente un critère important » avance l’entrepreneur. La solution est disponible sur le marché depuis maintenant quelques semaines.
« L’entrepreneuriat correspond à une prise de responsabilité extrême que je recherchais depuis longtemps. »
Background. S’il ’aventure Watcha a débuté il y a trois ans, pour Xavier Lecomte, elle représente u n cheminement plus ancien encore : « L’entrepreneuriat correspond à une prise de responsabilité extrême que je recherchais depuis longtemps. » Accompagné par le Réseau Entreprendre depuis bientôt un an, et plus spécifiquement par Hervé Letoublon, membre du réseau et associé fondateur de Capitem Partenaires, le Lyonnais reconnaît nécessiter un soutien pour garder, quelle que soit la situation, le meilleur état d’esprit.
« Le challenge est d’apprendre à vivre avec des incertitudes, et à rester performant dans des zones de turbulences fortes. » Pour l’aider dans la prise de décisions, Xavier Lecomte réunit régulièrement un advisory board (comité stratégique), qui représente pour lui « un moyen de bénéficier du recul d’autres entrepreneurs ».
BNP Paribas et Société Générale ont été condamnées à payer des amendes combinées de 110 millions de dollars en relation avec l'affaire WhatsApp. Cette situation met en évidence les défis de conformité aux réglementations et souligne l'importance croissante des solutions de communication sécurisées et des outils de gestion de projet open source au sein des entreprises privées.
Les conséquences de l'affaire WhatsApp aux États-Unis se font durement ressentir chez BNP Paribas et Société Générale, les deux principales banques françaises. En effet, les récentes sanctions imposées par les autorités américaines ont engendré des coûts substantiels pour ces institutions financières. Cette situation soulève également la question de l'efficacité des outils de communication et de gestion de projet en entreprise, mettant en lumière l'intérêt croissant d'adopter des suites collaboratives open source.
Cette affaire à mis en avant la vulnérabilité des banques internationales aux réglementations et aux sanctions américaines. Tandis que BNP Paribas et Société Générale sont aux prises avec des amendes importantes, il est évident que la confiance des investisseurs et des clients peut être ébranlée par de telles affaires. La nécessité d'assurer la sécurité des communications est plus pressante que jamais.
C'est dans ce contexte que se pose la question de l'adoption d'outils collaboratifs open source pour les échanges et la gestion de projet en entreprise. Ces suites logicielles offrent une alternative attrayante aux solutions propriétaires, car elles permettent aux entreprises de contrôler elles-mêmes leur infrastructure de communication et de collaboration. Plutôt que de dépendre de plateformes tierces, les entreprises peuvent héberger leurs propres solutions, garantissant ainsi une plus grande confidentialité et sécurité des données.
Les avantages des suites collaboratives open source, tel que Watcha, vont au-delà de la seule sécurité. Elles offrent également une personnalisation et une flexibilité accrues, permettant aux entreprises de façonner les outils en fonction de leurs besoins spécifiques. De plus, ces solutions ouvrent la voie à une collaboration transparente et fluide au sein de l'entreprise, favorisant ainsi une meilleure gestion de projet et une communication plus efficace entre les équipes.
En optant pour des solutionsopen source, les entreprises peuvent également réduire les coûts à long terme. Plutôt que de payer des frais de licence pour des logiciels propriétaires, elles peuvent investir dans le développement, la personnalisation et la maintenance de leurs propres solutions, ce qui peut s'avérer économiquement avantageux sur le long terme.
En conclusion, l'affaire WhatsApp aux États-Unis a mis en évidence les conséquences financières potentiellement désastreuses auxquelles les entreprises peuvent être confrontées en cas de défaillance des outils de communication et de gestion de projet.
Cette situation renforce l'argument en faveur de l'utilisation de suites collaboratives open source, offrant sécurité, personnalisation et contrôle tout en réduisant les coûts. Pour les entreprises cherchant à se prémunir contre de tels risques et à améliorer leur efficacité opérationnelle, l'adoption de solutions open source apparaît de plus en plus comme une option judicieuse et pertinente.
Le nouveau sujet qui attire toutes les conversations depuis quelques mois maintenant, que l’on aime ou qu’on déteste, impossible de passer à coté, encore plus depuis le rebranding de Facebook en Méta, c’est le Metaverse.
Vue Third Room
Le metaverse désigne une expérience dans un environnement virtuel en trois dimensions, où il est possible d’évoluer à travers un avatar ou un hologramme. Cette réalité alternative permet de discuter avec d’autres personnes mais également d’apprendre, de travailler ou encore de jouer.
#Metaverse et #OpenSource ensemble c’est possible ?
Matrix.org, protocole de communication qui permet des communications en temps réel sur le web, a lancé le mois dernier THIRD ROOM.
Logo Third Room
Third Room une vision ouverte, standardisée et décentralisée du metaverse pour le web entièrement construite sur Matrix. Les prémices du projet sont déposés en octobre 2017. C’est en mars 2022 que le projet se commence à se développer d’avantage, avec une augmentation des « commits » sur GitHub et il est lancé officiellement en septembre 2022. Il est possible depuis de rejoindre la version ouverte sur thirdroom.io.
Pour Matrix, Third room c’est simplifier l’utilisation des mondes virtuels qui est souvent réservée aux utilisateurs de casque VR. La webapp permet à chacun de développer des mondes et avatars en 3D... À l’avenir sera accessible aussi, une plateforme sur laquelle les designers 3D pourront monétiser leurs créations. Pour ouvrir un nouveau monde, il suffit de créer une nouvelle conversation sur Matrix.
Même si ce projet reste pour l’instant dans un but ludique, une utilisation plus professionnelle pourrait se dessiner d’ici quelques mois. Avec l’annonce du partenariat entre Teams de Microsoft et Méta, le metaverse commence à intégrer le monde de travail.
D’après les équipes de Microsoft « 50 % de la génération Z et de la génération Y envisagent de faire une partie de leur travail dans le metaverse au cours des deux prochaines années ».
Et vous ? Vous vous voyez faire vos prochaines réunions avec un casque VR ?
Salon Third RoomSalon Third Room
European Champions Alliance cite Watcha dans son mapping consacré à la cybersécurité
Watcha cité parmi les acteurs contribuant à la souveraineté numérique en Europe par l’European Champions Alliance dans son premier mapping concernant la cybersécurité sur le continent.
Watcha est nommé au côté de nombreux acteurs importants au niveau européen et mondial, comme Ledger, Tanker et Oodrive. C’est avec une grande fierté que nous accueillons cette nomination qui nous conforte dans notre démarche visant à promouvoir la sécurité et la transparence des outils de collaborations professionnels.
Qu'en est-il de l'adoption et de la contribution à l'Open Source au sein des entreprises européennes ? Un aperçu basé sur les rapports de la Fondation Linux.
Les entreprises européennes progressent-elles dans le domaine de l'Open Source ? L'année dernière, le OSPO Survey de la Fondation Linux fournissait des indicateurs à ce sujet.
Cette année, bien que l'on puisse également trouver des données, elles sont beaucoup moins détaillées. De nombreux éléments ne sont plus examinés selon des critères géographiques, tels que l'ancienneté des programmes Open Source et l'importance que leurs porteurs leur accordent.
Les résultats présentés mettent en lumière des corrélations accrues entre différents indicateurs. Notamment, une corrélation semble exister entre l'ancienneté d'un programme Open Source et la perception de sa criticité.
Contexte : En 2022, les organisations européennes se démarquaient par des OSPO globalement moins anciens que ceux de leurs homologues nord-américains.
L'OSPO Survey 2022 reposait principalement sur les réponses de 950 participants. Parmi les 628 ayant répondu à toutes les questions, 36 % travaillaient pour une organisation basée en Europe (37 % en Amérique du Nord, 19 % en Asie-Pacifique, 4 % en Amérique centrale ou latine).
La répartition géographique est similaire cette année, mais le nombre de réponses retenues a nettement diminué (489). En termes de secteurs d'activité, la démographie de l'échantillon se présente comme suit.
En Europe, un fort pourcentage d'initiatives dans les petites structures
La question centrale du sondage (« Disposez-vous d'un programme ou d'une initiative Open Source ») fait partie des rares indicateurs qui ont été « régionalisés ».
L'Europe affiche toujours les taux les plus bas, mais l'écart s'est réduit. L'an dernier, la proportion d'organisations disposant d'un programme ou d'une initiative était de 12 points inférieure à celle de l'Asie-Pacifique et de 20 points à celle de l'Amérique du Nord.
La taille des organisations joue un rôle plus important que leur emplacement géographique, en particulier en Europe. Le Vieux Continent a le taux de pénétration des OSPO le plus élevé dans les organisations de moins de 1000 personnes (78 %, contre 60 % en Amériques et 41 % en APAC). En revanche, il a le taux le plus bas dans celles de plus de 10 000 personnes (70 % vs 76 % en APAC et 83 % sur la plaque Amériques).
L'année dernière, les coûts étaient le principal défi en Europe, tandis qu'en Asie-Pacifique, c'étaient les ressources humaines, et en Amérique du Nord, la sensibilisation et le soutien des dirigeants.
Cette année, seules des statistiques globales sont disponibles. Elles placent la question des coûts en tête, suivie de près par le soutien des dirigeants.
Pour plus de statistiques régionalisées, on peut se tourner vers une autre étude de la Fondation Linux : World of Open Source 2023, « focus Europe ». Les participants (307 répondants retenus) sont principalement définis par leur profession, mais leurs réponses sont davantage liées à leur position personnelle qu'à celle de leur employeur.
Lorsqu'on leur demande les principaux avantages de l'Open Source pour le monde industriel, les répondants mentionnent en premier lieu la productivité, suivie de l'innovation et de la réduction des coûts d'exploitation.
Quant au niveau d'autorisation d'utilisation de l'Open Source, on note une légère baisse (-4 points) sur la réponse « ouvertement encouragé ». Cette diminution peut être liée, comme pour d'autres éléments, à l'ajout d'une option de réponse (« Cela appartient à chaque équipe de développement »).
En ce qui concerne les contributions à l'Open Source, les principaux obstacles cités par les répondants sont les préoccupations juridiques et la crainte de divulguer de la propriété intellectuelle.
En poursuivant votre navigation, vous acceptez le dépôt de cookies destinés à mesurer la fréquentation du site ainsi qu’à vous proposer des boutons de partage.